Le docteur Fauci, star mondiale de la virologie, a récemment dit que les suppléments alimentaires ne sont pas la panacée mais que trois choses étaient à surveiller surtout en cette période de pandémie : les bons taux de vitamine D3, de zinc et de vitamine C.
Comme la vitamine D3, contrairement au zinc et à la vitamine C ne s’acquiert presque pas par les aliments, comment faire ?
De grands spécialistes nous expliquent depuis des années que la voie royale pour avoir un bon taux de vitamine D3 est l’exposition au soleil voire à certaines lampes artificielles. Est-ce aussi simple ?
La pandémie a mis en exergue, outre l’existence de beaucoup de charlatans parfois hyper-diplômes, que le savoir scientifique est instable et que ce qui est vrai le lundi ne l’est pas forcément le vendredi. Or c’est justement ça qu’il vient de se produire dans le domaine de l’absorption naturelle de la vitamine D3.
Une étude portugaise conduite par des chercheurs de diverses institutions portugaises constate que :
1) Les malades les plus graves admis dans les hôpitaux portugais avaient de graves déficiences en vitamines D
2) Les portugais ont plus de carences en vitamine D3 que les finlandais par exemple.
Ces chercheurs insistent sur le fait que la vitamine D3 est indispensable pour :
1) Le système immunitaire
2) la pression artérielle
3) Le métabolisme des os
CONCLUSION
Pour quelles raisons les portugais auraient-ils un faible taux de vitamine D3 alors même qu’ils vivent dans un pays ensoleillé ?
L’explication serait :
1) Faible prédisposition génétique des portugais pour l’absorption de la vitamine D3
2) Changement des habitudes alimentaires et élimination de certains aliments gras qui sont sources de vitamine D3
Le journal O EXPRESSO nous en dit plus :
Soyez le premier à commenter