Quand il est question de Napoléon 1er, ce sont toujours les campagnes guerrières d’Italie, de Russie, d’Egypte, etc. qui sont citées. Il est question rarement de l’Espagne et ou pratiquement jamais du Portugal que beaucoup continuent d’assimiler à son voisin ibérique. .
Or c’est peut-être l’échec de Napoléon dans la péninsule ibérique et plus particulièrement au Portugal que nous considérons comme le Stalingrad du corse.
Quand il est question de Napoléon 1er, ce sont toujours les campagnes guerrières d’Italie, de Russie, d’Egypte, etc. qui sont citées. Il est question rarement de l’Espagne et ou pratiquement jamais du Portugal que beaucoup continuent d’assimiler à son voisin ibérique.
Or c’est peut-être l’échec de Napoléon dans la péninsule ibérique et plus particulièrement au Portugal que nous considérons comme le Stalingrad de l’empereur.
Quand nous regardons la boulimie conquérante de Napoléon 1er, nous ne pouvons pas nos empêcher de penser au film de Chaplin « Le dictateur ». Même Hitler n’a pas osé aller aussi loin car le führer a cherché au moins des alliances comme à Hendaye en 1940 où Franco l’a contraint à oublier toute visée d’invasion de la péninsule. Hitler aurait dit à son entourage que cette rencontre a été une des plus humiliantes de sa carrière.
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